A partir du 15 février, pour que le passe soit toujours valable, il faudra effectuer une dose de rappel quatre mois après avoir reçu la deuxième dose de vaccin. Pour les personnes qui n’ont qu’une dose, le passe sanitaire pourra être activé, si elle a été effectuée avant le 15 février, si la deuxième dose est administrée dans un délai d’un mois et enfin, si elles présentent un test négatif de moins de 24h.
Dans certains cas, un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination peut être présenté à la place du certificat de vaccination. Par ailleurs, les personnes qui n’ont pas un schéma vaccinal complet et qui s’engagent dans cette démarche, peuvent disposer d’un passe vaccinal transitoire. Ces personnes doivent présenter un
test négatif.
La loi prévoit également la possibilité d’exiger un double passe (cumul d’un certificat de vaccination et d’un test négatif) pour certains lieux et activités. Un décret doit intervenir.
Si la personne n’effectue pas le rappel dans les délais impartis, son passe est désactivé. Si elle effectue une dose de rappel au-delà du délai, un nouveau QR code sera généré et ce nouveau passe sera valide une semaine après l’injection.
Exceptions au passe vaccinal
Le passe sanitaire continue à s’appliquer pour les enfants âgés de 12 à moins de 16 ans.
Le passe sanitaire est maintenu pour l’accès aux hôpitaux, aux cliniques, aux établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) et aux maisons de retraite, sauf cas d’urgence.
Le passe sanitaire pourra également être maintenu pour une durée limitée dans certains territoires sur décision des préfets (habilités par le Premier ministre) lorsque les circonstances locales le justifient (comme en outre-mer).